En cuanto a la supresión de l
os establecimientos libres de impuestos situados en las fronteras terrestres, que es otra cuestión delicada, quiero recordarles que el origen de este enfoque se remonta a 1960, cuando la Organización Mundial de Aduanas (OMA), recomendó la supresión de l
os establecimientos libres de impuestos situados en las fronteras terrestres, y, además, quiero recordarles que en 2002, cuando se terminaron las conversaciones de adhesión con diez nuevos países, se obligó a Esloven
...[+++]ia y Hungría, entre otros, a suprimir sus establecimientos libres de impuestos terrestres; así que creo que la solución propuesta, que establece un período transitorio muy largo para Grecia y Rumania, es muy justo en comparación con la posición adoptada con respecto a los anteriormente mencionados nuevos países.Concernant la suppression des comptoirs hors taxes aux frontières terrestres, ce qui est une autre question sensible, je vous rappelle que l’origine de cette approche remonte déjà à 1960, année où l’OMD, l’Organisation mondiale des douanes, a recommandé la suppression des comptoirs hors taxes aux frontières terrestres. Je vous rappelle également qu’en 2002, au moment de l’achèvement des négociations d’adhésion avec les dix nouveaux pays, des pays comme la Slovénie, la
Hongrie et quelques autres ont été contraints d’abolir leurs comptoirs hors taxes aux frontières terrestres; alors je pense que la solution proposée, qui offre à la Grèce
...[+++]et à la Roumanie une très longue période de transition, est tout à fait équitable en comparaison de la position prise à l’égard des «anciens nouveaux» pays.